« Le calembour ; ça manque de vocables bulles d’air » ; disait ma grammaire. Ce n’est pas le cas de Gérard.
Lui !? C’est un Pivot de la société. Un guide du routage. Un spécimen exemplaire. Une édition originale à tirage limité.
Et il a des titres à faire valoir : Bien qu’il fût dix lexiques dans son enfance, très tôt il sait compter jusqu’à Z. Après des études aux arts-dicos, il devient abrégé de philo-xéra dans le bordelais où il a une liaison avec une joueuse de tennis, d’où son surnom : "Le type au Graf ". (...)
Accueil > Actualités > Condoléances
Condoléances
-
C’est un cas, Lambert !
17 octobre 2013, par Gérard Lambert - Ullmann -
La pièce en bois
3 janvier 2013, par Gérard Lambert - UllmannLa pièce en bois du fond
a quatre murs, un sol, un plafond
– La belle affaire !
Mais, pour peu qu’on soit
dans cet antre, un jeudi tous les mois
et qu’on se serre,
entre nous ça devient
le Pow-wow chantant des indiens.
La pièce en bois du bout,
On y trinque on y chante, vent debout,
des chansons drôles
ou pleines de cafard
sur des voix qui décollent au radar
et sans contrôle,
des airs qui n’ont sévi
ni chez Nacker ni chez Drugi.
La pièce en bois de pin
se souvient de tous les tableaux peints (...) -
Livrairie ?
3 janvier 2013, par Gérard Lambert - UllmannPourquoi librairie ? Et non pas livrairie ? Moi, le latin, je m’en tape. L’homme est-il vraiment né libre ? En livrée et non en nivré ? Camarguaises aux pieds, chemise non repassée, Cet homme, et lui seul, peut vous faire découvrir les merveilles de la littérature. Livres tu aimeras. Libre tu resteras.
La librairie a ri, un jour de mistigri. Et moi que fais-je sur ce coup-ci ? Je lis des livres à rire, que je trouve sans coup férir sur un chapitre sans voix chez l’ami Lambert.
Mon diable, quelle (...) -
Condoléances
3 octobre 2012, par Gérard Lambert - UllmannCondoléances reçues à l’annonce de la fin de la librairie.
Car la "rentrée littéraire", c’est aussi cette très mauvaise nouvelle : la fermeture - encore une - de la librairie indépendante "Voix au chapitre" à Saint-Nazaire... Association Les vents m’ont dit.
C’est avec tristesse et désolation que je viens de vous lire. Je suis sincèrement triste... Je ne suis pas une cliente assidue, mais je n’ai jamais commandé un livre sur le net, ni dans les grandes surfaces, mais toujours chez vous. Je vous (...)